RCO 14 – Forêt septentrionale de l’Atlantique

Les sols pauvres en nutriments de la partie de la Nouvelle-Angleterre la plus au nord et des monts Adirondack favorisent les forêts d’épinettes et de sapins sur les sites les plus élevés et les plus au nord ainsi que des bois-francs nordiques dans le reste de la région. Presque toutes les grives de Bicknell nichent sur les pics montagneux dans cette région. On compte parmi les autres oiseaux forestiers importants la paruline du Canada et la paruline à poitrine baie. Les milieux humides côtiers sont habités par le bruant de Nelson, tandis que les zones rocheuses intertidales sont importantes pour le bécasseau violet hivernant et les habitats boueux intertidaux sont des sites de rassemblement essentiels au bécasseau semipalmé. L’eider à duvet et le guillemot à miroirs nichent dans les habitats côtiers, tandis que les océanites cul-blanc, les mouettes, les sternes et les populations les plus méridionales de plusieurs alcidés nicheurs se reproduisent sur les îles situées au large.

Des étangs de castors et les rives des lacs et étangs intacts fournissent un excellent habitat pour la reproduction de la sauvagine, plus précisément pour le canard noir, le harle couronné, le grand harle et le garrot à œil d’or. Les vallées des rivières Hudson et Connecticut sont d’importants corridors pour la bernache cravant, la sarcelle d’hiver et autre sauvagine qui migre de la Nouvelle-Angleterre et du Québec.

En raison de la gelée des milieux humides intérieurs, les zones humides côtières sont grandement utilisées par les canards de surface, les canards de mer et les oies durant l’hivernage et la migration.

Plan conjoint :

Stratégies de conservation des oiseaux :

[retournez à la carte]